Chers amis,
Je sais, je sais, je ne suis pas en avance pour vous rendre compte de cette soirée… mais mon emploi du temps manque d’élasticité.
Ce soir-là (ce n’était que la semaine dernière, mais le temps passe si vite…) j’étais plutôt tendu parce que je m’étais un peu relâché côté horaires et je suis arrivé quelques minutes après l’ouverture du rideau-écran.
Rideau tenu comme à chaque réunion par l’ami Peter qui, toujours aux manettes, assure la fluidité de la soirée.
Mais bien qu’imitant le lapin d’Alice, je repris vite le fil
autour des tours et sans m’étendre plus, voici déployé le déroulé de cette soirée.
Une bonne vingtaine de participants s’étaient déjà retrouvés dans leur petite case, on pouvait zoomer sur Nicolas,
Alain Filaos ou Jean-François, Pallas toujours fidèle, Abacus qui discutait avec Jeepi, Guillaume, Zilliox, Francis et
Daniel, Jean-Christophe, Pierre et Patrick entre autres, tous suspendus aux paroles de notre cher Coco qui s’étendait
de long en large sur les propriétés des bracelets en caoutchouc.
Il nous offrit en frac une super-production de paquets de cartes, la passe à l’élastique autour de la main, les élastiques
à la japonaise (un effet coup de poing), l’élastique à la pyramide, la carte canon, les loops (pas loupés), le jeu qui tourne
sur lui-même, les mélanges du monde et encore du japonais… je ne vais pas m’étaler plus mais Coco nous la jouait
soirée stretch tellement la soirée semblait extensible à l’infini.
Comme Coco reprenait son souffle, Claude Abacus a passé sa tête et en a profité pour nous montrer un très bel effet
d’enclavage et désenclavage et Jean-Marie Courty en électron libre roule sa bille puis joue de l’hypercard avec des
découpages impossibles. Mais l’intarissable Coco reprend vite la main et après des prédictions aux quatre coins de
son jeu il nous montre ce qu’il appelle ses « trouvailles du confinement » : des enveloppes à tiroir, des livres à ressort,
des plumes animées et j’en passe. Un régal !
Pour clore ce festival, Filaos joue du spaghetti sans casse et Vincent déchire son mouchoir pour atteindre la lune sur
une étoile filante, c’était si joli et poétique que j’en ai sorti le mien (allez voir la rediffusion sur le site du Club, vous
comprendrez).
Et voilà chers amis comment s’est déroulé cette soirée tout a long de la nuit qui s’étirait.
Coco a remis son chapeau, fermé son grand livre, Peter a éteint les spots, baissé le rideau-écran et nous a donné
rendez-vous pour une prochaine soirée magique.
Merci à tous et vivement la prochaine !
Arnaud
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